La peur comme plaisir
Nous avons déjà abordé l\’histoire de l\’horreur cinématographique dans des articles précédents. Comme il n\’est pas possible de tout citer ici, la sélection sera modifiée au hasard.
Commençons par Godzilla. Vous ne savez pas de quoi il s\’agit ? Mais vous ne connaissez que le nom moderne « Godzilla ». Pourtant, à l\’origine, le monstre s\’appelait Godzilla ou Godzilla. Il s\’agissait d\’un lézard géant apparu au Japon en 1954 et réveillé par l\’activité humaine.
En tant que film d\’horreur, ce fut un énorme succès et il n\’est pas étonnant que d\’autres films aient été tournés. Et pour éviter que les choses ne deviennent ennuyeuses, d\’autres monstres ont été ajoutés – plus de monstres dans un seul film. C\’était comme une usine à tapis roulant, et pire encore, il y avait de la concurrence. Gappa devait amener le prochain grand monstre au cinéma. Et il commença à pleuvoir comme de l\’eau sur la ferme de Lubal
. [Pour ne citer que quelques rêveurs, Godzilla, Ebirah et Mothra : La grande bataille des mers du Sud, ou Godzilla, Minilla et Gabara : Tous les monstres à l\’assaut, les films de ce type ont été nombreux dans les années 60 et 70. Et c\’est au milieu de ce grand désordre qu\’est apparu King Kong. Mais il ne s\’agissait pas d\’un film d\’horreur japonais, nous y reviendrons la prochaine fois.
Bien sûr, le cinéma japonais ne nous a pas seulement plongés dans les monstres. Des films d\’horreur classiques, des films de fantômes et, bien sûr, des films d\’épouvante classiques ont également été réalisés. Prenons par exemple le court métrage Kwaidan, réalisé par le futur célèbre Masaki Kobayashi. Un autre film d\’horreur étrange a été Hell, et plus récemment la version américaine bien connue de The Circle, The Ring
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Un autre chapitre est celui des films d\’horreur gore, les « splatters » et les « slashers ». Le cinéma japonais ne manquera pas de nous surprendre à nouveau avec des films de qualité
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