L\’un des grands avantages de voyager avec ses petits-enfants est que vous êtes six au total. C\’est le nombre de passagers qui occuperont tout le compartiment. Une fois installés dans vos sièges, vous n\’avez plus qu\’à fermer les portes coulissantes. Ainsi, les passagers de l\’ensemble du wagon ne sont pas dérangés par les activités du jeu. Après les premiers kilomètres du voyage, les petits-enfants commencent leur jeu favori. Le football verbal. Enrichi d\’une variante Stupido. Dans ce jeu, le premier joueur lance un mot courant, le second suit avec un autre qui commence par les deux dernières lettres. Il ne le dit pas, mais décrit simplement ce qu\’il veut dire. Le troisième joueur, s\’il a compris, donne lui aussi un petit indice. Mais s\’il n\’en a aucune idée, il doit avouer la vérité. Il obtient alors un bonus. La première lettre du mot peu flatteur. Et les autres se moqueront de lui s\’il les ramasse toutes. De temps en temps, quelqu\’un bluffe et tente de masquer son ignorance. Mais il est vite démasqué par ses coéquipiers.

Lorsque l\’erreur est prouvée, il perd sa vie et gagne une lettre supplémentaire du nom désobligeant. Et la première heure du voyage s\’écoule sans que personne ne s\’ennuie ou ne s\’énerve. Deux vérités et un mensonge est le nom du deuxième jeu, que les grands-parents apprécieront également avec leurs petits-enfants. Il permet de mieux se comprendre de manière humoristique. Chaque joueur partage avec les autres trois choses de sa vie. Deux doivent être vraies et une doit être inventée. Les autres devinent laquelle est fausse. Celui qui devine gagne un point. Le meilleur moyen de savoir qui a le sens de l\’humour est de savoir qui a le sens de l\’humour. Plus les histoires sont drôles et amusantes, plus le jeu est drôle. Un autre jeu de narration est également très apprécié des petits-enfants.

Le nom Luckily / Unluckily (chanceux / malchanceux ) montre que l\’improvisation est de nouveau de mise. Le premier joueur commence à raconter l\’histoire. En une seule phrase. La personne suivante choisit la tournure à donner à l\’histoire, soit une histoire heureuse avec le mot « chance », soit un drame. L\’expression de la malchance. Cela permet de créer des aventures inoubliables. Tout dépend de l\’imagination des joueurs. Avant que le train ne s\’arrête à la dernière gare, les petits-enfants n\’ont plus qu\’à jouer au jeu de l\’écheveau. Cela fera rire tout le monde. Ils se mettent tous à dire le contraire de ce qu\’ils veulent ou voudraient dire aux autres. Ainsi l\’exclamation : Je ne veux pas de chocolat ! ou On n\’arrivera jamais ! juste avant de descendre du train, amusera même le contrôleur.